Dans les années 50, le laboratoire s’installe dans les Pyrénées, au pic du Midi de Bigorre menant à la « découverte et confirmation des propriétés des mésons et des hypérons ». Cependant, les limites des études des rayons cosmiques sont atteintes. La compréhension des particules et de leurs interactions va nécessiter des études systématiques, possibles dorénavant grâce aux accélérateurs de particules.