Jean Teillac, qui succède aux Joliot-Curie à la tête du laboratoire Curie, laisse libres les salles des directeurs au rez-de-chaussée du pavillon Curie et s’installe dans les nouveaux locaux d’Orsay (auprès du laboratoire « Joliot-Curie », devenu en 1966 « Institut de Physique Nucléaire »). Il favorise ainsi une première étape de « patrimonialisation » du site par la famille et les amis des Joliot-Curie.