Initialement installé sur site pour la recherche en physique nucléaire, le VDG a ensuite été mis en œuvre pour son potentiel d’utilisation dans toutes les techniques d’analyse de matériaux par faisceaux d’ions. Celles-ci ont connu un essor dans les années 1980, et ont débouché ensuite sur la construction de la première microsonde nucléaire réellement opérationnelle en France au début des années 1990.