A Lyon, en 1986, un programme d’étude des interactions des agrégats d’hydrogène Hn+ avec des feuilles minces se met en place : étude de l’explosion coulombienne, du ralentissement, des distributions de charges, de l’émission d’électrons secondaires… On atteint 100 keV/atome dès 1992. Ces nouveaux projectiles sont en vogue, ils vont faire des émules, notamment lors de la décennie suivante à Orsay (Aun+, Hn+).