Au milieu des années 80, le CENBG se lance dans l’étude des liens possibles entre éléments traces (détectés par la méthode PIXE) et pathologies humaines : le chrome et les maladies cardiovasculaires (le dosage du chrome permet de repérer les patients qui présentent des sténoses des artères coronaires), le vanadium et les états dépressifs (le vanadium sérique est plus élevé lors d’un état dépressif) et le sélénium et son impact sur les défenses immunitaires.
Dans la décennie suivante, le LPC se lance dans les études d’absorption de l’arsenic et du molybdène dans l’organisme dans la cadre de la médecine thermale