Au début des années 1970, les premières collaborations avec des équipes de médecine nucléaire débutent, pour aider à améliorer les performances des appareils comme les imageurs et pour essayer de mettre au point de nouveaux détecteurs. En parallèle, plusieurs laboratoires (IPNL, IPNO, ISN) se lancent dans la production de radionucléides sur accélérateurs, comme par exemple l’iode 133.
Au LAL, en collaboration avec l’Institut Gustave Roussy, un système informatique couplé à une gamma caméra est conçu pour l’imagerie scintigraphique et le traitement numérique des images. La France est pionnière, une étape décisive est franchie, permettant de passer du qualitatif au quantitatif. S’en suit la création de la société Informateck, à l’époque un des leaders mondiaux de la spécialité.