L’IPNL contribue à la première mise en évidence d’effets de « sillage » dans la mer des électrons de Fermi d’un solide. Un tel « wake effect » avait été prévu théoriquement en 1948 par Niels Bohr. Ce résultat fournit ainsi une nouvelle interprétation théorique et expérimentale du phénomène de ralentissement des particules chargées dans les solides.