Aline Nonat – Médaille de bronze du CNRS
La Médaille de bronze du CNRS est décernée à Aline Nonat, ingénieure chimiste, pour ses travaux sur les marqueurs luminescents et les agents de contraste pour l’imagerie.
La Médaille de bronze du CNRS est décernée à Aline Nonat, ingénieure chimiste, pour ses travaux sur les marqueurs luminescents et les agents de contraste pour l’imagerie.
Cette plateforme de recherche auprès de CYRCÉ comprend un volet de recherche en hadronthérapie, un volet en imagerie biologique, et des lignes de faisceau dédiées au test de détecteurs pour la physique des particules.
La Médaille d’Argent du CNRS est décernée à Boris Hippolyte pour ses travaux sur l’étude du plasma de quarks et de gluons au sein de la collaboration ALICE au CERN.
L’ambition de l’upgrade de ALICE est de déterminer la limite en-dessous de laquelle la plasma de quarks et de gluons ne peut plus apparaître.
En vue du LHC à haute luminosité, l’IPHC étudie des détecteurs micropistes multicouches qui réaliseront une première estimation de trajectoire des particules pour optimiser le déclenchement du détecteur. A l’horizon 2040, le LHC à haute luminosité servira d’injecteur pour le FCC, qui posera de nouveaux défis technologiques et ouvrira la porte à des domaines d’exploration […]
Grâce à ce nouvel équipement dédié à l’enseignement et la recherche, l’IPHC confirme son ouverture vers le monde médical avec l’imagerie biologique et la hadronthérapie. Le faisceau de protons de CYRCÉ servira également par la suite pour le test de détecteurs développés pour la physique des particules.
La Médaille de cristal du CNRS est décernée à Eddy Dangelser, ingénieur en fabrication mécanique, pour son apport à Strasbourg et à l’IN2P3 en CAO et en fabrication sur machines à commande numérique dans des domaines de précision extrême.
Obtention d’un financement COST pour la mise en réseau de 13 pays sur la thématique neutrino. C’est ce qui permettra la naissance du projet ESSNuSB.
Le détecteur est entièrement conçu et réalisé par l’IPHC. STELLA permet de reproduire et d’étudier en laboratoire des réactions nucléaires qui se produisent au cœur des étoiles massives, pour décrypter notamment les mécanismes de nucléosynthèse stellaires.
Suite à une première contribution de l’IPHC à la mise en route de l’expérience Belle II au Japon, l’IN2P3 rejoint officiellement la collaboration, avec pour but de découvrir la physique au-delà du modèle standard via des mesures ultra-précises dans le secteur des quarks b et c et des leptons tau.