Aline Nonat – Médaille de bronze du CNRS
La Médaille de bronze du CNRS est décernée à Aline Nonat, ingénieure chimiste, pour ses travaux sur les marqueurs luminescents et les agents de contraste pour l’imagerie.
La Médaille de bronze du CNRS est décernée à Aline Nonat, ingénieure chimiste, pour ses travaux sur les marqueurs luminescents et les agents de contraste pour l’imagerie.
Cette plateforme de recherche auprès de CYRCÉ comprend un volet de recherche en hadronthérapie, un volet en imagerie biologique, et des lignes de faisceau dédiées au test de détecteurs pour la physique des particules.
La Médaille d’Argent du CNRS est décernée à Boris Hippolyte pour ses travaux sur l’étude du plasma de quarks et de gluons au sein de la collaboration ALICE au CERN.
L’ambition de l’upgrade de ALICE est de déterminer la limite en-dessous de laquelle la plasma de quarks et de gluons ne peut plus apparaître.
En vue du LHC à haute luminosité, l’IPHC étudie des détecteurs micropistes multicouches qui réaliseront une première estimation de trajectoire des particules pour optimiser le déclenchement du détecteur. A l’horizon 2040, le LHC à haute luminosité servira d’injecteur pour le FCC, qui posera de nouveaux défis technologiques et ouvrira la porte à des domaines d’exploration […]
Avec pour mission la conception du système de calibration du véto cosmique.
Suite à une première contribution de l’IPHC à la mise en route de l’expérience Belle II au Japon, l’IN2P3 rejoint officiellement la collaboration, avec pour but de découvrir la physique au-delà du modèle standard via des mesures ultra-précises dans le secteur des quarks b et c et des leptons tau.
Cette montée en puissance considérable permet à l’IPHC de rejoindre mi-2008 le cœur de l’activité de la grille LCG en passant au niveau Tier-2. Le laboratoire met alors à la disposition de la grille de calcul du LHC 640 cœurs Xeon 5420 et 240 To de stockage disque.
L’IPHC est aux côtés de Subatech l’un des deux laboratoires français chargés de la production des « Digital Optical Module » pour la collaboration KM3NeT que l’IPHC a rejoint dès ses débuts en 2004. Le DOM est le coeur des deux télescopes ORCA et ARCA construits par KM3NeT pour l’étude des neutrinos de haute énergie.