Catégorie : timeline_IPHC
Démarrage de l’expérience ISOLDE au CERN
L’équipe de Guy Walter réalise de nombreux développements instrumentaux. La technologie instrumentale utilisée est bien connue des équipes strasbourgeoises, car proche de celle de la physique nucléaire.
Le synchrotron part à Grenoble
La manifestation à Strasbourg pour dire « Oui au synchrotron » rassemble plus de 5000 personnes mais ne réussit pas à infléchir la décision d’installer ce prestigieux équipement à Grenoble.
Création du Centre de calcul de Cronenbourg
Le département de physique théorique dirigé par le Pr Monsonego exprime des besoins croissants en moyens de calcul. Des machines sont déjà implantées dans plusieurs départements du CRN. Pour monter en puissance, il est décidé de mutualiser les moyens du CRN et du CEB (Centre d’études bioclimatiques du Pr.Metz) : le Centre de calcul de Cronenbourg […]
Création du Groupe des laboratoires de Strasbourg-Cronenbourg
Marcel Ripoche est nommé administrateur du groupement des laboratoires de Strasbourg-Cronenbourg.
Pierre Chevallier succède à Serge Gorodetsky à la direction du CRN
Eclatement du CRN
Les divergences entre les 5 départements du CRN en 1968 aboutissent en 1969 à son éclatement en 9 laboratoires propres du CNRS : Laboratoire des basses énergies, Laboratoire de chimie nucléaire, Laboratoire de physique corpusculaire, Laboratoire de physique du noyau et de physique des particules, Laboratoire de physique nucléaire et d’instrumentation nucléaire, Laboratoire de physique nucléaire […]
Construction de l’Empereur
Début de la construction par la société HVE de l’accélérateur Empereur, aussi appelé MP. Cet accélérateur Van de Graaff tandem horizontal de 9 MeV sera par la suite modifié par l’ingénieur Michel Letournel et son équipe pour atteindre 17 MeV.
Création de l’IN2P3
La création de l’IN2P3 fédère à nouveau les 9 laboratoires de Cronenbourg en un laboratoire propre de l’IN2P3, qui reprend le nom CRN.
Le Q3D
Le spectromètre magnétique de très haute précision Q3D conçu et réalisé par le CRN ouvre la voie à des mesures inédites en physique nucléaire.
